Ă fuir, vraiment, je pense trĂšs honnĂȘtement quâon a droguĂ© mon verre, et au lieu de chercher le problĂšme, le videur âmâavait Ă lâoeilâ et a refusĂ© que je boive un verre dâeau alors que jâen avais vrmt besoin, jâai dĂ» aller aux toilettes car je ne me sentais pas bien et les filles du vestiaire (dĂ©jĂ dĂ©sagrĂ©ables dĂšs lâentrĂ©e) nous ont menacĂ© de nous mettre dehors si on ne sortait pas de nous mĂȘme. On nous a quand mĂȘme forcĂ© Ă sortir et on m'a portĂ©e pour me laisser dans la rue, dans le froid, en pleines crises de paniques, incapable de me lever, ni dâouvrir les yeux, heureusement que jâĂ©tais accompagnĂ©e. On mâa mise dans âle trouâ lĂ ou ils mettent les gens qui ne se sentent pas bien, Ă lâabri des regards car il ne faudrait surtout pas nuire Ă lâimage de la boiteâŠ..Lâautre videur (plus jeune) Ă lui Ă©tĂ© comprĂ©hensif et fait son travail, est restĂ© avec nous et a appelĂ© les pompiers. Mais surtout il ne fallait pas non plus que les pompiers viennent me chercher devant la boite, ça fait "mauvais genre" pour eux...